La commission du Développement durable s'est attachée à « mettre en musique » une autre promesse de François Hollande : faire de la BPI la banque de la transition écologique. Nous avons donc déposé des amendements en ce sens.
Nous nous sommes aussi intéressés à la gouvernance de ce nouvel instrument, en proposant d'y intégrer des acteurs à même d'apporter une expertise sur les questions environnementales – y compris à l'échelon régional, avec les agences de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie – ADEME –, qui travaillent déjà en liaison avec OSÉO.
Les acteurs de la filière des éco-industries, regroupés depuis 2008 au sein du Comité stratégique des éco-industries – COSEI –, craignent d'avoir à repartir de zéro. Il serait bon de pouvoir s'appuyer sur le travail déjà réalisé.
Enfin, quid de l'articulation de la BPI avec le Conseil national de la transition écologique – CNTE –, en voie de création ?