Je ne voudrais pas paraître excessivement répressif, mais, dans l'hypothèse où un ressortissant étranger aurait présenté de faux papiers à l'autorité préfectorale ou à la police aux frontières – ce qui est plutôt un indice de fraude –, nous pourrions envisager d'en tenir compte. Le fait que le demandeur s'adresse à la République française en lui mentant ne justifie-t-il pas l'application de la procédure accélérée ?