Les demandeurs d'asile, notamment les Syriens et les Kurdes, sont parfois assistés de conseils qui sont issus de leur communauté, ce qu'on essaie d'éviter autant que possible. Quoi qu'il en soit, le conseil maîtrise parfois mieux la langue dans laquelle le demandeur s'exprime que l'interprète qui lui est dévolu. Son intervention viserait à rectifier une erreur de traduction, pas à se substituer à l'interprète présent.