Vous avez parlé du risque de « désoptimisation » dans le cadre des restructurations en cours. La fermeture de la base de Bouy, à proximité des grands camps de Champagne, provoque un certain émoi au sein de l'armée de terre et des états-majors. Pouvez-vous nous préciser la façon dont se négocie la cartographie des suppressions d'implantation avec ceux dont vous êtes chargé d'assurer l'approvisionnement ?