Je puis partager une forme d'agacement face au bavardage législatif. Nous avions passé plus d'une heure, lors de l'examen du texte sur le harcèlement sexuel, pour savoir s'il fallait parler d'« identité de genre » ou d'« identité sexuelle ». Un compromis avait été trouvé au Sénat et à l'Assemblée, que je ne retrouve pas dans les amendements que nous examinons.
Quoi qu'il en soit, le droit dont nous parlons n'a jamais été utilisé par les commissions parlementaires visées. Nous ne cherchons qu'à favoriser la révision d'une liste insatisfaisante.