Monsieur le professeur, vous avez présenté les 35 heures comme une mesure aux conséquences plutôt positives et vivement critiqué les exonérations de cotisations sociales patronales Aubry, Juppé et Fillon, ainsi que le crédit d'impôt recherche, que vous avez qualifié dans un article récent d'« arrosage irresponsable ». Que pensez-vous du crédit d'impôt annoncé par le Président de la République dans le cadre de la « trajectoire de compétitivité » ?