Vous avez souligné la fragilité financière de l'entreprise, grevée par une dette brute de 7 milliards d'euros et la baisse de 10 % de son chiffre d'affaires, malgré les efforts entrepris depuis 2011.
Vous envisagez un plan de relance pour renforcer la compétitivité de l'entreprise. Or, ce plan pourrait se traduire par des suppressions d'emplois parmi les 45 000 salariés d'Areva. Quelle sera la contribution des effectifs aux efforts de redressement ?