Il m'est difficile de me prononcer, puisque la SNCF ne bénéfice pas des aides de l'État. Évoquer cette question exige de redéfinir la répartition entre durée hebdomadaire et nombre de repos. Cette question du nombre de jours travaillés est un point dur dans les grandes entreprises, où le nombre de RTT a été assimilé progressivement aux congés. Ainsi, remettre en cause les aides suppose de rééquilibrer cette répartition, réalisée à l'époque sous la pression générale : il fallait passer aux 35 heures et les organisations de salariés ont demandé des repos.