…je voudrais débuter mon propos par une adresse dépourvue d'agressivité à notre président de commission. Sauf erreur de ma part, l'une de ses références historiques revenait à dire en substance qu'on siège à gauche parce qu'on est républicain. Je voudrais affirmer très tranquillement et sans être à mon avis en contradiction avec ce que pense profondément le président Urvoas que, dans cet hémicycle, il n'y a rien que des républicains. (Applaudissements sur les bancs des groupes UMP et UDI.) Puisque nous parlons de la question du vote blanc et à travers elle de la manière dont nos concitoyens décident, il n'était pas inutile de le rappeler, fût-ce au prix de l'une des minutes qui me sont accordées.