Et c’est pourquoi il faut refuser la présente proposition de loi, qui aurait pour conséquence, non seulement de priver des parents de leur liberté, mais surtout de priver des enfants de la présence de leurs parents, pour des faits liés à leur propre existence.
Quelles que soient les positions exprimées dans mon groupe politique, qui vont d’une grande prudence, pour ne pas dire une opposition à la GPA, à la volonté d’en encadrer la pratique, deux principes font l’unanimité parmi nous.
Le premier est qu’en aucun cas nous ne saurions, par nos votes ou nos prises de position, contribuer à rendre des enfants apatrides ou étrangers au pays de leur famille, ou faire en sorte que des enfants soient privés de la présence de leurs parents.