Pour compléter cette conclusion, je précise que la hausse de 60 millions d'euros que risquent d'avoir à supporter nos entreprises en matière de coût de l'énergie – taxes, transports, électrons – représente environ 20 % de leur excédent brut d'exploitation. C'est donc un enjeu sensible pour les membres de notre syndicat. J'insiste aussi, comme Jean-Philippe Bénard, sur le fait que notre profil vertueux devrait être mieux pris en compte.