Pour parachever la généralisation de la complémentaire santé, trois types de population ont été particulièrement ciblés – étudiants, chômeurs de longue durée et retraités –, qui ne sont pas encore couverts de manière satisfaisante même si des efforts importants ont été réalisés. Pour être, moi aussi, ancienne assistante sociale, je sais que la barrière de la langue, l'accès à l'écrit, les réticences culturelles, le manque de confiance en soi et d'appréhension de ses propres problèmes de santé, les réflexes de résilience peuvent constituer des freins. Comment intégrez-vous les difficultés psychologiques particulières des personnes dans votre travail de généralisation de l'accès aux soins ? Comment les mettez-vous en lien avec les réseaux de santé ?