C’est vrai, il n’y a pas qu’en Bretagne, mais la déception y est peut-être encore plus grande puisque non seulement on nous refuse bien des choses sur les sujets économiques, mais on nous refuse également beaucoup de choses sur des sujets qui n’ont pas d’impact financier immédiat, et cela, les gens ne le comprennent plus.
Voilà toutes les raisons qui m’incitent à penser que notre assemblée se grandirait en donnant à cette région, qui a démontré son attachement à la République et à notre pays – le centenaire du déclenchement de la Première guerre mondiale en est à bien des égards l’expression – le sentiment que les voeux qu’elle formule peuvent, à l’occasion, être satisfaits par cette même République.