Enfin, une tradition s’est perdue au cours de ce débat. Jusqu’à présent, et je siège ici depuis dix-sept ans et demi, lorsque l’on touchait à l’Alsace, tous les élus, de tous bords politiques, étaient en rang d’oignon pour défendre ensemble une même vision de l’Alsace. J’espère que, grâce à certains collègues qui s’expriment sur d’autres bancs, vous allez remettre l’Alsace à sa vraie place, c’est-à-dire au coeur de l’Europe, une Alsace qui se suffit à elle-même pour défendre les couleurs de la France.