Il ne s’agit pas de donner des leçons aux uns et aux autres. Chacun décidera en fonction de ce qu’il croit bon pour les territoires. Notre pays a du mal à évoluer. Cette majorité a le courage de s’attaquer à cette situation. Cela implique évidemment des tensions territoriales. Un mécanisme rendu un peu plus accessible serait de nature à calmer beaucoup de désespérance ou d’amertume, peut-être excessives d’ailleurs, car l’émotion ne conduit pas toujours à des réactions que le temps juge opportunes. Reste qu’il y a des troubles. Le droit d’option voté à deux heures dix du matin constituerait au moins un signe d’espoir.