Vous nous avez indiqué que les ouvriers étaient beaucoup plus concernés que les cadres par les horaires atypiques, mais avez-vous établi, à l'intérieur de ces catégories socioprofessionnelles, une distinction entre les hommes et les femmes ?
Par ailleurs, il paraît étonnant que le temps passé en famille ait augmenté en même temps que les horaires atypiques – qui touchent une proportion croissante de femmes, puisqu'elles sont de plus en plus nombreuses à travailler. Comment l'expliquez-vous ?