Les combattants que nous avons actuellement en face de nous font fi de notre avantage technologique et tentent de le pallier en favorisant les combats au corps à corps. Vous orientez-vous vers une formation de nos militaires envisageant des combats différents de ceux menées entre deux armées conventionnelles ?
En outre, de quelle façon est pris en compte le cloisonnement entre opération militaire et action civile sur les terrains de conflit ? Quelle est la relation retenue dans l'approche globale avec les acteurs humanitaires et les ONG ?