Monsieur le ministre de la défense, il y a près d’un an, répondant à l’appel d’un peuple ami et sous mandat onusien, la France déclenchait l’opération Sangaris en République centrafricaine. Devant l’urgence de la situation et face au risque d’un massacre de masse sous les yeux de la communauté internationale, massacre perpétré au nom du fanatisme religieux, la France et son Président de la République, conscients de leurs responsabilités, ont répondu présents en optant pour une intervention militaire rapide. On ne pouvait pas laisser l’Afrique sombrer dans le chaos : c’était une question de sécurité commune.
Menée par les forces françaises avec l’efficacité, le professionnalisme et le courage qui sont les leurs,…