Il est tout à fait normal – cela a été dit par la ministre de l’écologie, par le Premier ministre et par le Président de la République – que, sur les grands projets environnementaux, il y ait jusqu’au bout des débats qui permettent d’aboutir à un compromis et de trouver le bon équilibre, de manière à ce que le fil du dialogue ne soit jamais coupé – car, comme nous l’avons rappelé la semaine dernière, il vaut toujours mieux un bon compromis qu’une mauvaise querelle sur des sujets qui engagent durablement l’avenir d’une région.