Comment évaluez-vous la place de la concurrence au sein du système français, et en quoi influe-t-elle sur la formation des tarifs ? Dans quelle mesure le poids de l'histoire empêche-t-il l'émergence de nouveaux opérateurs ?
Les coûts vont croissant, en raison notamment des masses d'investissements nécessaires ; or les tarifs, chacun en convient, ont vocation à couvrir les coûts. Le mode de calcul de ces tarifs vous paraît-il satisfaisant ? Devrait-il évoluer et, dans l'affirmative, quels paramètres pourraient y être intégrés ?