Monsieur Xavier Bertrand, pardon de parler à la troisième personne mais Manuel Valls est là, et bien là, à la tête du Gouvernement ! Je veux vous répondre avec courtoisie et attention, car le débat doit exister entre le Gouvernement, la majorité et l’opposition.
Je ne reviendrai pas sur le diagnostic et sur la nécessité des réformes : j’ai eu l’occasion d’en parler lors de mon discours de politique générale au mois d’avril. Mais votre question me permet de donner un contenu au mot « réformes ».