Continuons sur la question de la réforme, nous toucherons ainsi à quelque chose d’essentiel. Je rappelais dimanche, et je l’ai dit dans cet hémicycle, que nous nous trouvons à un moment clé pour le quinquennat et le pays. Soit nous écoutons les nostalgiques et nous privilégions une vision passéiste de la France, soit nous choisissons d’armer notre pays pour qu’il relève les défis futurs, en apportant une réponse qui soit celle de la République, de l’école, de l’avenir. Et vous, vous ne soutenez pas les réformes que nous menons en faveur de l’école, de la jeunesse.