Monsieur le président, ma première question porte sur les activités de sourcing de la BEI, qui intervient toujours en parité : compte tenu de la situation actuelle, a-t-elle un nombre suffisant de projets à financer ?
Par ailleurs, est-il vrai que le Conseil des gouverneurs a fait des préconisations à la BEI visant à l'empêcher de consacrer une part de son augmentation de capital à des projets hors Union européenne ? Si oui, le Conseil des gouverneurs du 20 novembre pourra-t-il revenir sur cette décision ? Il serait en effet peut-être utile à l'Europe, dans le contexte politique et économique méditerranéen actuel, d'investir dans le cadre de politiques de voisinage, comme la BEI le fait déjà à hauteur de 10 % de ses activités.