C'est une question d'ouverture de postes, mais aussi de stratégie hospitalo-universitaire, car ces actions s'inscrivent nécessairement dans le temps. La ministre et nous-mêmes plaidons, auprès du ministère de l'enseignement supérieur, l'établissement d'une feuille de route prévoyant environ quatre postes par an pour le CHU de la Réunion, mais aussi quelques postes en Martinique et à la Guadeloupe où les effectifs sont également insuffisants.