Nous avons des contacts très réguliers et étroits avec les quatre directeurs généraux d'ARS outre-mer, pour les aider dans leur action et promouvoir les dispositifs généraux portés par le ministère, qu'il s'agisse du statut de praticien territorial de médecine générale – qui n'est pas encore considéré comme une opportunité par les jeunes médecins en formation outre-mer – ou des protocoles de coopération qui permettent de dégager du temps médecin, en autorisant les infirmières à réaliser certains actes. Cela se développe en métropole, pas aussi rapidement que nous le souhaiterions, malgré la mise en place du protocole ASALEE, pour les maladies chroniques, et du protocole autour des métiers de l'ophtalmologie.
Ces protocoles seront appliqués sans difficulté outre-mer, pour peu que des professionnels soient volontaires. Les directeurs généraux d'ARS y travaillent, outre l'utilisation de tous les soutiens offerts par le ministère.