Permettez-moi, madame Courrèges, de dire combien j'ai été impressionnée par votre parcours.
Je travaille aujourd'hui sur le projet de loi santé qui institue une obligation légale de représentation des usagers dans les organes de gouvernance de toutes les agences sanitaires nationales, dont l'Agence de la biomédecine. À ce jour, les usagers ne sont pas représentés dans leurs instances délibérantes. Quel est votre sentiment sur cette question ? En fonction des agences ou des personnes auditionnées, la question est aujourd'hui ouverte sur la forme que peut prendre cette participation et sur la possibilité d'accorder des voix délibératives.
Enfin, quelle formation estimez-vous nécessaire pour que cette représentation soit pertinente ?