S’agissant de tous ceux qui prennent le chemin de l’exode, non pas parce qu’ils sont tombées amoureux du code frontières Schengen quelque part sur une côte libyenne, syrienne ou irakienne, mais simplement parce qu’ils sont persécutés, torturés, emprisonnés dans leur pays, comme c’est le cas d’un certain nombre de minorités de Syrie et d’Irak, notamment chrétiennes, le Président de la République a rappelé avec force que la France, conformément à la belle tradition qui est la sienne, a vocation à les accueillir.