Ma question s’adresse à M. le ministre de l’intérieur et j’y associe Matthias Fekl qui était chargé du sujet qu’elle évoque avant de devenir secrétaire d’État.
Depuis des décennies, l’abstention aux élections progresse régulièrement dans notre pays. Lors de l’élection législative partielle qui a eu lieu dimanche dernier, moins d’un électeur sur quatre s’est rendu aux urnes. Ce phénomène constitue l’une des manifestations d’une crise démocratique caractérisée par une défiance grandissante à l’égard des élus et des partis politiques et par la montée des extrêmes.