Vous n’aurez l’éclairage, non pas de mon administration, mais du secrétaire d’État qui vous rappelle qu’il a souhaité gérer au plus près les dépenses de fin d’année. Au moment où le PLFR a été rédigé, nous avions des estimations de dépenses salariales, portant sur les derniers mois, que nous jugions prudentes. À présent que ces salaires sont en cours de liquidation, ils nous sont mieux connus et nous avons pu récupérer environ 182 millions sur la masse salariale, principalement sur deux ministères – l’éducation nationale et de la défense. Nous avions en effet établi, je le répète, une prévision prudente des salaires de décembre, qui sont maintenant peu ou prou connus.
Il s’agit là d’une exécution tout à fait classique, au plus proche des besoins. Il n’y a pas d’autres sujets à développer, sinon vous pourriez, tous les mois, nourrir le même questionnement.