C'est en réponse à ma remarque – « l'avenir appartient à ceux qui rêvent plus fort que les autres » – que le ministre des affaires étrangères a parlé de « rêve participatif », l'expression lui semblant plus poétique que « contrat d'objectifs et de moyens ». Au-delà de la boutade, il faut savoir rêver et mettre les mains dans le cambouis dans le même temps. Avoir une vision aide à avancer.