En lieu de chiffres, nous avons surtout eu des pourcentages, alors même que de petites mutuelles d'assurance sont en mesure de produire des chiffres. Nous avons constaté que dans chaque arme, y compris pour la gendarmerie qui dispose d'un système à part, personne n'utilise les mêmes bases d'analyse. Par exemple, la cellule d'aide aux blessés de l'armée de Terre (CABAT) ne s'occupe que des blessés en service, tandis que l'armée de l'air s'occupe également des blessés hors service et des familles. C'est une vraie difficulté pour disposer de statistiques à périmètre égal. S'agissant des mi-temps thérapeutiques, il n'existe que 50 postes disponibles, dont seulement 42 sont effectivement pourvus.