Après avoir fait ces constats, nous avons dégagé des préconisations.
Nous sommes revenus sur l'adolescence. Nous pensons que pour les filles, l'éducation à la santé est aussi un facteur d'émancipation, et que les moyens dédiés aux services de médecine scolaire doivent être renforcés afin d'aider infirmières et personnels éducatifs à repérer en amont les signes de mal être physique et psychique, ce qui permettrait de cibler les bilans effectués par les médecins sur les élèves en difficulté. Il convient de réorganiser et de soutenir les infirmières scolaires qui pour nous sont au coeur d'un dispositif de soutien de la jeunesse. Il semble que le projet de loi s'en préoccupe.