D'où l'intérêt de passer par le jeu et des ateliers d'alimentation, qui rendent ludique l'approche des légumes. C'était notre deuxième préconisation.
Il nous est aussi apparu que le développement, dans le cursus, d'activités sportives non sexuées – c'est-à-dire proposées systématiquement aux deux sexes – et suffisamment diversifiées ne pouvait que renforcer la prévention de l'obésité et amener les jeunes à prendre goût et plaisir à une activité physique soutenue. La loi du 4 août 2014 pour l'égalité réelle entre les femmes et les hommes comporte des dispositions concernant la féminisation des instances dirigeantes des fédérations sportives. Maintenant, il faut que le phénomène « redescende » et que les activités sportives soient proposées aux deux sexes.