La question du contrôle, vous l'avez dit, est essentielle ; celle de la nature même des activités de renseignement et des techniques auxquelles elles recourent ne l'est pas moins. Vous avez, dans le débat public, opposé des activités massives, que vous avez appelées « pêche au chalut », et des activités plus ciblées, que vous avez appelées « pêche au harpon ». Qu'est-ce qui relève, dans l'activité de nos services aujourd'hui, de l'une et de l'autre ?