Analysant dans son ouvrage Cas de conscience, trois décisions du Conseil constitutionnel avec lesquelles il s'est trouvé en désaccord, Pierre Joxe écrit : « Quand on est minoritaire dans une instance politique comme le Conseil constitutionnel, dont les débats ne sont pas publics, il faut accepter que sa voix soit comptée mais qu'elle ne compte pour rien. » Partagez-vous cette analyse ?