Ce que j'ai voulu dire, c'est qu'en n'exprimant pas le souhait que le principe de neutralité soit inscrit dans la loi dès maintenant, on renvoie sans doute la possibilité d'agir à un futur où les pathologies de l'internet – l'« écrasement » évoqué par Laure de La Raudière – seront plus développées. Il faudra alors une base légale plus audacieuse pour opérer la guérison.
Quant à la notion de « qualité suffisante », elle peut donner le sentiment que l'on accrédite un internet à plusieurs vitesses. C'est un point de débat qui existe entre nous depuis plusieurs années et que vous nous aidez à clarifier ce matin.