J'ai bien précisé que je n'étais pas forcément favorable au dispositif de la propriété mais l'argumentaire me paraissait un peu court.
Je souhaite revenir sur le paradoxe suivant : le renforcement à l'autodétermination informationnelle frappe de précarité le circuit aval. Si je fais abstraction de la protection de l'individu au profit de la protection de la valorisation des données, comment ceux qui traitent les données peuvent-ils se prémunir quand eux-mêmes sont en train de patrimonialiser leur traitement contre cette précarité « génétique » liée à la capacité permanente de la personne à soustraire une partie de cette valeur ?