Encore une fois, il ne s'agit pas de le nier : nous sommes tous convaincus que l'information unitaire agrégée et traitée a une valeur économique. Seulement, la réponse à la question que vous posez ne se trouve pas, à ce stade, dans le droit à la protection des données personnelles. Il s'agit de questions adjacentes et le droit des données personnelles ne peut y apporter de réponse économique ; il n'a pas été construit dans l'optique de valorisation d'une matière première.