Intervention de Jean-Claude Delalonde

Réunion du 24 novembre 2014 à 16h30
Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques

Jean-Claude Delalonde, président de l'Association nationale des comités et commissions locales d'information, ANCCLI :

Monsieur le président, vous l'avez dit en début de séance, le Parlement – et l'Office que vous présidez y a été pour beaucoup –, a adopté la loi du 13 juin 2006 relative à la transparence et la sécurité nucléaire. Par cette loi, le Parlement a décidé d'officialiser l'existence de la société dite civile par des commissions locales d'information (CLI). Il y en a trente-huit sur le territoire national, auprès de chaque centrale nucléaire, et j'ai l'honneur de présider la fédération qui les regroupe.

Cette société civile a des missions fixées par la loi, qui a créé également un Haut Comité pour la transparence et l'information sur la sécurité nucléaire (HCTISN). Je vous remercie sincèrement de nous avoir invités aujourd'hui. La société civile, que je représente, regroupe 3 000 personnes sur le territoire, dont 1 500 élus, mais aussi des représentants syndicaux, des experts, des personnes qualifiées et des associations, qu'elles soient pour ou contre le nucléaire. Ce haut comité aux missions très précises, plus précises que celles des CLI, que vous avez créé par la loi, monsieur le président, ne fonctionne plus depuis dix mois. Il pas pu être invité aujourd'hui, et je le regrette.

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