L'un des points saillants de ce premier tour de table est la tension, apparue depuis une dizaine d'années, entre la libre circulation des données personnelles, toujours plus nombreuses, à laquelle peut s'attacher une certaine valeur collective, et la volonté non seulement de protéger la vie privée mais aussi de maîtriser ces données personnelles. Il est de plus en plus question de l'auto-détermination informationnelle, notion qui existe depuis longtemps en Allemagne et qui a été mise en avant dans l'étude du Conseil d'État.
Selon vous, où placer les digues pour garantir une solide protection des données personnelles ?