C'est bien pourquoi j'ai mentionné la loi de 2014 au début de mon propos. Je ne crois pas que mes prédécesseurs aient eu aussi souvent l'occasion d'échanger avec votre commission. Pour ma part, je crois que nos rencontres sont un très bon signe pour la politique du développement et j'y vois un effet de l'adoption de cette loi et de l'intérêt que les parlementaires portent à cette politique.