Le Gouvernement français a décidé de participer aux frappes aériennes après le changement de Premier ministre en Irak. La France s'est préoccupée de l'évolution de la situation politique et a agi pour que M. al-Maliki soit remplacé par M. al-Abadi. En revanche, personne ne présente de stratégie de sortie de crise dans cette région. Notre Commission pourrait se pencher sur cette question.