Effectivement, l'effacement et la saisonnalité devraient être mieux rémunérés. Dans le document que vous nous avez remis, vous indiquez qu'ils représentent 300 mégawatts d'une centrale virtuelle. Est-ce la limite maximale ou existe-t-il encore des gains possibles ?
Pensez-vous que le modèle appliqué par l'Allemagne aux industriels électro-intensifs est transposable en France en l'état actuel de notre réglementation ?