La France concentre son action sur le théâtre irakien. Nous avons fait le choix de ne pas mener de frappes aériennes en Syrie. Nous l’assumons. Il est aussi celui de tous nos partenaires européens. Bien sûr, nous n’oublions pas que la situation de certaines villes assiégées, à savoir le martyre de Kobané comme celui d’Alep, ne peut laisser aucun d’entre nous indifférent. Notre ligne demeure la même : ni Bachar, ni Daech.
Le 14/01/2015 à 10:24, laïc a dit :
C'est anormal : plutôt Bachar que Daech ! Quand on lutte contre le terrorisme islamique, on ne garde pas une main dans le dos.
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