Monsieur Jean-Christophe Fromantin, si vous avez été affecté par mes propos, je vous prie de bien vouloir m'en excuser.
Il ne me semble toutefois pas judicieux de multiplier les rapports, d'autant que vous venez vous-même de souligner avoir déjà fourni un travail très sérieux sur le sujet. Vous confirmez donc le caractère superflu d'un nouveau rapport.
Je vous rappelle, de surcroît, que je n'ai pas émis un avis défavorable à l'élaboration d'un tel rapport : je m'en suis remis à la sagesse de la Commission spéciale, ce qui n'est pas inconvenant.