Vous avez oublié de mentionner l'Essonne, département pionnier dans ce domaine, dont je suis conseillère générale. À l'époque où j'étais maire, l'ARS nous avait imposé la présence d'un échographe dans les centres de santé où des IVG médicamenteuses devaient être effectuées. Nous nous en sommes dotés avec un financement partiel de la région mais je m'interroge toujours sur le bien-fondé de cette exigence. Il serait souhaitable que cette ambiguïté soit levée, quitte à modifier la circulaire, car cela est très coûteux et risque de limiter les initiatives.