Je m'interroge sur la nécessité d'opposer éducation, information, accompagnement, prise en charge et soins. Je me souviens que, lors de mes premières années de formation en sexologie, des questions posées à des participants montraient, de leur part, une méconnaissance de leur propre anatomie. Ainsi, éducation n'est pas synonyme d'appropriation et, plutôt que de segmenter et créer des prés carrés, il faut conjuguer les approches, même si j'ai bien entendu les propos de Mme Gaudu.
Aujourd'hui, un enfant, un adolescent ou un jeune adulte doit disposer autour de lui d'un réseau au sein duquel il va trouver ce qui lui correspond. S'agissant de la stagnation du nombre d'IVG, Mme Gaudu nous expliquera la règle de trois.