Les esprits sont frileux ; la fin de vie a été évoquée récemment et la loi dispose que les directives anticipées s'imposent aux médecins. Ainsi, la volonté du patient s'impose au corps médical. Le parallèle pourrait être fait pour dire que le corps appartient à la femme et que sa volonté s'impose donc dans les mêmes conditions, particulièrement pour un acte tel que l'interruption volontaire de grossesse.