Intervention de Laurence Danjou

Réunion du 16 décembre 2014 à 17h00
Délégation de l'assemblée nationale aux droits des femmes et à l'égalité des chances entre les hommes et les femmes

Laurence Danjou, gynécologue et coprésidente de l'ANCIC :

Les médecins des centres de diagnostic prénatal qui se livrent à ce genre de pratiques se mettent en dehors de la loi. S'ils peuvent émettre des réserves au titre de l'éthique et demander à la patiente de réfléchir, ils n'en sont pas moins tenus d'adresser celle-ci à un confrère pour pratiquer l'IVG. Aux termes de la loi, la femme n'a pas à justifier son choix ; ces praticiens créent donc une notion d'interruption volontaire de grossesse illégale.

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