Monsieur le ministre de l’intérieur, pour gagner la guerre contre le terrorisme, il faut nommer notre ennemi, sans crainte, sans faiblesse. L’islamisme, l’islamisme radical, l’islamisme fanatique, voilà l’ennemi ! Le communautarisme est son allié. Le silence et l’ignorance sont leurs complices.
Pour les vaincre, il faut combattre en utilisant toutes les armes de l’État de droit. Si l’État de droit est faible, il n’est plus l’État, et il n’y a plus de droit. C’est pourquoi nous vous présentons à nouveau des propositions d’action. Elles ne sont pas dictées par l’émotion, mais s’inscrivent dans la continuité des mesures prises sous l’autorité de Nicolas Sarkozy lorsqu’il assumait les plus hautes fonctions de l’État.
Le 21/01/2015 à 09:46, laïc a dit :
"Si l’État de droit est faible, il n’est plus l’État, et il n’y a plus de droit"
Dans les cantines scolaires, l'Etat de droit est très très faible...
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